Après 50 ans, Bien-être, beauté, Gynécologie, Made in France : Soins et bien-être, Testé pour vous !, Troubles du sommeil

Wopilo : l’oreiller qui dorlote vos nuits

Chaque année, 400 000 femmes en France sont concernées par la ménopause. 75% d’entre elles souffrent des maux engendrés par le déficit en œstrogènes : Suées nocturnes, migraines, palpitations, prise de poids, sècheresses cutanées, troubles du sommeil… Leurs nuits oscillent entre inconfort et insomnies.

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Après 50 ans, Bien dans sa peau, Gynécologie

Ménopause : une époque formidable ? « Une renaissance » pour #LindaHardy !

« Je ne sors jamais sans mon éventail ! ». Coquetterie d’une influenceuse ? Que nenni, une évidence pour Laure, 52 ans qui ne saurait quitter son domicile sans ce précieux outil de ventilation bio, écolo et mobile ! Eh oui, Laure subit de plein fouet le dérèglement hormonal lié à la ménopause. Une joyeuseté pour toutes celles qui franchissent la barrière du demi-siècle.

Une nouvelle ère ou « aire » commence entre sueurs nocturnes, fatigue, frissons, palpitations et coups de chaud… Une formidable période de la vie des femmes où les ovaires sont en télétravail (et la production d’hormones sexuelles en baisse, bye bye les estrogènes), où les kilos font des petits, où la peau s’assèche, où l’humeur oscille, où le sommeil devient concept et le capital séduction… en voie d’extinction.

Allez trêve d’humour, la cinquantaine c’est aussi et surtout le bon moment pour prendre soin de soi, de son corps, de ses envies, son confort. C’est le bon moment pour être enfin à l’écoute de soi et de se consacrer à ce qui nous fait plaisir réellement. Dans une interview accordé au journal Gala Linda Hardy, 49 ans, ex. mannequin, Miss France 1992 brise le tabou de la ménopause et évoque : « une renaissance ». Déjà en en mai 2021, la comédienne avait sorti un guide bien-être intitulé Heureuse et en forme, dans lequel elle révélait trucs et astuces pour que chacun puisse appréhender son âge sans aucun complexe. A écouter un très beau podcast de Métamorphose lors de la sortie « Heureuse et en forme au naturel ».

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Après 50 ans, Bien dans sa peau, Bien-être, beauté, Gynécologie

#Ménopause : Une journée internationnale pour faire de la santé des femmes de plus de 50 ans un enjeu de santé publique

L’Organisation Mondiale de la Santé estime qu’en 2030, 1,2 milliard de femmes seront âgées de 50 ans ou plus et qu’un nombre croissant de ces femmes peut s’attendre à vivre plusieurs décennies après la ménopause.

Malheureusement, une durée de vie plus longue entraîne aussi une augmentation spectaculaire de l’incidence des maladies et des affections qui peuvent être associées à la perte d’œstrogènes au milieu de la vie. Ce jour, qui est la Journée Mondiale de la Ménopause, l’International Menopause Society (IMS) presse les nations de prendre des mesures actives pour éduquer les femmes concernant les implications de la ménopause pour la santé.

Honorer les femmes

La Journée Mondiale de la Ménopause a pour objectif d’honorer toutes les femmes. Elle vise les millions de femmes qui, partout dans le monde, arrivent chaque jour à ce stade vital de leur vie, même si bon nombre d’entre elles ne comprennent pas bien ce qu’est la ménopause et quels sont ses impacts sur leur santé.

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Gynécologie

L’endométriose est une maladie complexe

L’endométriose est une maladie gynécologique fréquente qui concerne une femme sur dix. Elle est liée à la présence de tissu semblable à la muqueuse utérine en dehors de l’utérus. Différents organes peuvent être touchés. La maladie peut être asymptomatique. Mais dans certains cas, elle provoque des douleurs fortes (notamment au moment des règles) et/ou une infertilité. Les chercheurs tentent de mieux comprendre les mécanismes de cette maladie et ses liens avec l’infertilité. Après 15 ans d’errance médicale, Floriane Rebourg a mis un nom sur ses maux : l’endométriose. Elle a décidé de créer une plate-forme ressources pour informer et accompagner les femmes qui en sont victimes. Ains est né le « Le Lab de l’Endo ».

Complexe et difficile à diagnostiquer à ce jour, l’endométriose met en situation d’errance médicale de nombreuses femmes. Le diagnostic intervient souvent tardivement (7 ans en moyenne) alors que cette pathologie s’est déjà installée et que les symptômes (douleur, infertilité) se sont aggravés.

Les  symptômes et douleurs sont variables d’une femme à l’autre, leur intensité et récurrence ne dépendent pas de la nature des lésions. De petites lésions superficielles peuvent même être invisibles à l’imagerie, mais néanmoins responsables de fortes douleurs.

Pour tenter de mieux connaître la maladie, et surtout essayer d’en comprendre les causes pour enfin trouver un traitement curatif (qui n’existe pas aujourd’hui), il est essentiel d’accroitre les investissements dans la recherche scientifique. Certains autres pays que la France sont plus avancés en terme de recherche scientifique, c’est pour cela qu’il existe plusieurs théories scientifiques à ce jour, parfois contradictoires, sur les origines de l’endométriose.

Pour les femmes perdues, des solutions de diagnostic existent qui permettent d’accéder aux experts du secteur de manière simplifiée.

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Gynécologie

220 000 IVG par an en France : le témoignage de Stéphanie

Une Française sur trois aura recours à une interruption volontaire de grossesse (IVG) durant sa vie de femme. Adolescente insouciante, amoureuse négligente ou femme abusée, toutes ont vécu avec anxiété cette grossesse inattendue. L’angoisse des règles qui tardent à venir est la même pour toutes. Le test de grossesse qui réjouit les jeunes mariées impatientes de fonder une famille, peut être terrifiant pour toutes celles qui n’ont pas le désir d’enfant. Chaque année, 220 000 avortements sont pratiqués en France. Il s’agit majoritairement d’IVG médicamenteuse avec une prise de mifépristone et de prostaglandines (coût : 200 euros). Les interventions chirurgicales par aspiration de l’œuf sous anesthésie locale ou générale (600 euros) sont moins fréquentes aujourd’hui qu’hier.

Quarante ans après la légalisation de l’IVG, en ce mercredi 26 novembre 2014, le ressenti des femmes est toujours le même. « Aucune femme n’a recours de gaieté de cœur à l’avortement, c’est toujours un drame, cela restera toujours un drame ». Cette phrase prononcée au perchoir de l’Assemblée nationale par Simone Veil marque un tournant dans légalité des droits homme-femme. Le jour où les femmes ont eu enfin le droit de disposer de leur corps en toute légalité. Aujourd’hui, l’IVG est menacé non pas par des fanatiques religieux, mais pour des raisons économiques. 5 % des établissements publics et 48 % des établissements privés pratiquant l’IVG ont fermé ces dix dernières années, soit plus de 130 établissements au total. En outre, « 37 % des gynécologues partiront à la retraite dans les cinq ans », alerte le Haut Conseil, craignant « l’absence d’une relève militante ».
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Gynécologie

Une grossesse n'est pas toujours une bonne nouvelle. Si certaines comptent les jours en espérant le trait "bleu", d'autres sont désespérées. L'IVG est un droit pour toutes les femmes.En France, la loi prévoit permet à toute femme enceinte, y compris mineure, qui s’estime placée dans une situation de détresse de demander à un médecin l’interruption de sa grossesse. Une IVG peut être pratiquée sur une mineure avec ou sans autorisation parentale. C’est une grande avancée dans le droit à l’égalité, dans le droit immuable de pouvoir choisir.

Afin de garantir cet accès aux centres d’IVG durant la période estivale, la ministre de la Santé a adressé une instruction aux directeurs des Agences régionales de santé et des établissements sanitaires leur demandant de « garantir la qualité de l’accès à l’information et de la prise en charge des femmes. Des délais d’accès conformes aux recommandations de la Haute Autorité de Santé doivent être maintenus tout au long de l’année ».

La ministre souhaite par ailleurs souligner les avancées majeures décidées depuis plus d’un an par le gouvernement, qui permettent de garantir à toutes les femmes qui en ont besoin une bonne information et le recours à  l’IVG sans obstacle financier, partout en France. C’est notamment le cas des mesures suivantes : le remboursement à 100% des IVG pour toutes les femmes ; la revalorisation de 50% de l’acte chirurgical de l’IVG pour les établissements hospitaliers ; la création du site www.ivg.gouv.fr pour garantir aux femmes une information complète et fiable sur leurs droits.

Gynécologie, Les médicaments

Les pilules contraceptives pas sans danger

Ce n’est pas un scoop, les pilules contraceptives augmentent le risque de complications thrombo-emboliques veineuses (phlébites), mais chez les femmes qui utilisent les dernières nées des 3e et 4e générations ce risque est deux fois plus élevé. Sachant que de 1,5 à 2 millions de femmes prennent aujourd’hui une des nombreuses pilules de troisième génération sur le marché, (la moitié n’est pas remboursée par la Sécurité sociale), les autorités de santé ultra réactives depuis l’affaire du Médiator, recommandent désormais le retour aux pilules de 2e génération. La ministre de la Santé annonce dans la foulée le déremboursement des plaquettes stigmatisées dès le mois de mars, en même temps, ça fait toujours une petite économie au passage…

Selon le site du monde.fr, 30 femmes vont déposer plainte contre les fabricants devant le tribunal de Bobigny dans les jours qui viennent. « Une action en justice qui fait suite à la plainte déposée le 14 décembre dernier par Marion Larat, jeune femme de 25 ans, handicapée à 65% depuis un accident vasculaire cérébral (AVC) qu’elle impute à sa pilule de troisième génération. Une plainte dont vient de se saisir le pôle santé publique du tribunal de grande instance (TGI) de Paris. Les nouvelles victimes, âgées de 17 à 48 ans, ont subi de graves problèmes de santé : AVC (15 femmes), embolies pulmonaires (3 femmes), thromboses veineuses, phlébites. L’une d’entre elles est décédée, d’autres vivent avec de graves séquelles : tétraplégie, hémiplégie et aphasie. Les plaintes visent plusieurs laboratoires, tous fabricants de pilule de troisième et quatrième génération : Bayer, Schering, Merck et Pfizer ».

jasmine

La première alerte contre les pilules de 3e et 4e génération a été lancée dès 1995 en Angleterre. Depuis, des études sont venues confirmer l’excès de risque de phlébite lié à la prise de ces pilules, mais pas de façon suffisamment convaincante pour justifier un retrait du marché. Pourtant, l’an dernier, déjà la Food and Drug Administration, l’agence américaine des médicaments avait point du doigt Yaz® et Jasmine® (Yasmin) et révélait un risque accru de caillot sanguin pour les femmes qui utilisent ces pilules contraceptives dernière génération contenant de la drospirénone, un gestagène synthétique de nouvelle génération proche de l’hormone naturelle. Le risque serait multiplié par 1,5 par rapport aux autres pilules, plus anciennes. Yaz® et Jasmine® sont parmi les plus vendues, représentant 1,5 milliard de dollars de ventes mondiales pour Bayer en 2010.

Ce que cette information met en évidence, c’est la banalisation de l’utilisation de la pilule contraceptive, un médicament qui contient des hormones progestatives et œstrogènes pour les unes, juste des progestatifs pour les autres et enfin de la drospirénone, un gestagène synthétique de nouvelle génération proche de l’hormone naturelle pour les dernières générations mises sur le marché.

Associées au tabac, elles deviennent des bombes à retardement et favorisent les risques de phlébites et donc d’embolies.. Les fumeuses ne devraient jamais prendre la pilule, mais ce message peu de gynécologues le font réellement passer auprès de leurs patientes, dommage car ce serait leur rôle. Il y a d’autres moyens de contraceptions, les préservatifs, les stérilets… Le recours à la pilule pour des seins ou des règles douloureuses, pour des problèmes d’acné chez les adolescentes, est dangereux pour leur santé. On le sait le premier moyen de contraception est dans 90 % des cas celui que l’on utilisera toute sa vie.

A lire l’article du site www.allodocteurs.fr « Les pilules Yaz et Jasmine sur la sellette »

Gynécologie, Maternité, Pédiatrie

Dans une lettre ouverte qui sera envoyée à tous les candidats à la présidence le 20 mars prochain, le conseil national de l’Ordre des sages-femmes dresse « le constat préoccupant de l’état de santé des femmes et de la périnatalité en France ». Selon les sages-femmes : « Une femme sur quatre déclare qu’elle aurait souhaité vivre autrement son accouchement – soit près de 200 000 femmes ; La mortalité infantile est stagnante (depuis 2005, environ 3,8 enfants sur 1 000 naissances décèdent avant leur premier anniversaire) ; Une femme sur cinq n’a pas de suivi gynécologique régulier ; Près de 220 000 IVG sont pratiqués chaque année en France, dont 29 000 concernent des jeunes femmes âgées de 15 à 19 ans (soit un point supplémentaire chaque année)…” Par cette lettre ouverte et la distinction de trois mesures prioritaires, le conseil national de l’ordre des sages-femmes attend des candidats à la présidence de la République des “engagements et des propositions concrètes redonnant aux femmes le droit à la santé et un libre choix quant à leur manière d’envisager la grossesse et l’accouchement”.

Gynécologie, Sexologie

Le prix de la pilule de 2e génération voit son prix baisser entre 12 et 15%. Cette baisse entre en vigueur aujourd’hui, mardi 1er novembre. « L’interruption volontaire de grossesse est toujours une épreuve difficile et doit rester un recours exceptionnel. C’est pourquoi le Gouvernement a souhaité faciliter l’accès aux pilules minidosées. Favoriser l’accès à la contraception c’est aussi diminuer le prix des pilules », indique le service de presse du cabinet de Xavier Bertrand, ministre de la Santé. Le Comité économique des produits de santé a donc baissé de 12 à 15% le prix des pilules de 2e génération minidosées. Cette décision, dont l’arrêté au JO est paru depuis le 19 juillet, prend effet aujourd’hui. Le nouveau prix d’une plaquette de pilule 2e génération s’établit ainsi à 2,21€. Pour les pilules de 2ème génération minidosées, les plus chères, le coût était jusqu’à présent, pour 3 mois (soit 3 plaquettes), de 7,56 euros. Il passe aujourd’hui à 6,63 euros. Cela veut dire concrètement la contraception à 2 euros par mois.
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Gynécologie, Maternité

Signes de l’accouchement

Crédit : photo parlonssante.com
Crédit : photo parlonssante.com

Ils sont très variables d’une femme à l’autre, mais dans les grandes lignes, des contractions douloureuses et rapprochées sont un signe ! Parfois elles induisent un faux travail, pour savoir si elles sont liées au début de l’accouchement, prenez un antispasmodique, si rien ne se passe et qu’elles se renforcent tout en devenant plus fréquentes, n’hésitez pas à consulter un médecin ou bien à vous rendre à la maternité.

La rupture de la poche des eaux qui induit un écoulement chaud de l’ordre d’un verre d’eau doit également alerter.

La rupture du bouchon muqueux avec des pertes marron-beige est un autre signe favorable, toutefois chez certaines femmes elle survient une dizaine d’heures avant.

Un regain d’énergie. Eh oui certaines mamans vous le diront le matin de l’accouchement elles accrochaient des rideaux, d’autres astiquaient les cuivres ou encore rangeaient le garage.
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