Cancérologie / Oncologie

Du 2 au 8 février 2015, la Ligue contre le cancer et France Télévisions s’allient pour informer, conseiller, aider et débattre sur les questions liées au cancer

La Journée mondiale contre le cancer aura lieu le 4 février prochain. Parce qu’une seule journée ne suffit pas, la Ligue contre le cancer entend faire de la semaine du 2 février une mobilisation exceptionnelle autour de la 1re cause de mortalité en France : le cancer. En plus de sa présence permanente sur le terrain grâce à ses 13 800 bénévoles et sur Internet, la Ligue étoffe son dispositif d’information et de mobilisation contre le cancer avec le soutien d’un média de grande envergure. Rassembler les Français, écouter leurs inquiétudes, susciter la participation de ceux qui n’osent s’exprimer d’habitude, apporter un soutien concret et des réponses sur la maladie… Tels sont les objectifs de ce partenariat inédit avec le groupe France Télévisions. Mobilisation des journalistes, des chaînes, des programmes et des émissions du groupe, tous ont souhaité faire bouger les mentalités et aider concrètement la lutte contre le cancer.

L’OMS (Organisation mondiale de la Santé) estime que le cancer aura fait 84 millions de morts entre 2005 et 2015 dans le monde. La Ligue contre le cancer – acteur majeur de la lutte contre le cancer au niveau mondial, aux côtés de l’Union internationale contre le cancer (UICC) – en partenariat avec France Télévisions place la problématique du cancer auprès du plus grand nombre, grâce à la puissance de ce média audiovisuel.

Source : communiqué La Ligue contre le cancer

General

Crédit photo : Guillaume Bigot
Crédit photo : Guillaume Bigot

Le lancement de la campagne « Football et épilepsie » s’est tenue au siège de la Fédération française de football (FFF), en présence de Bernard Desumer, vice-président de la FFF, Mickaël Landreau, parrain de l’opération, Michel Tronson, vice-président de la LFA, et Pierre Rochcongar, Président de la Commission Médicale de la Fédération.

Cette campagne est basée sur une communication large, qui sera complétée par des formations décentralisées dans les ligues et les districts, auprès des entraîneurs, dirigeants, arbitres et joueurs, en lien avec les médecins fédéraux, sur le modèle de l’opération « Les gestes qui sauvent ». La Ligue contre l’épilepsie met à disposition, dans chaque région, un ou plusieurs noms de médecins épileptologues volontaires référents, afin de répondre à toute demande complémentaire ou d’expertise qui pourrait être exprimé, en particulier par les médecins des ligues et des districts de football.

Crédit photo : Guillaume Bigot
Crédit photo : Guillaume Bigot

Bernard Desumer, vice-président de la FFF : « Le football ne se résume pas à la compétition et à l’élite. Il a également une mission d’éducation, notamment auprès des jeunes qui représentent 1 million de nos licenciés, et un rôle à jouer dans les domaines social et médical. Depuis quelques années nous menons une action autour des gestes qui sauvent, aujourd’hui nous cherchons à permettre aux épileptiques de jouer au foot. C’est un tort de penser que les personnes atteintes ne peuvent pas s’adonner au sport. Le soutien de Mickaël (ndlr : Landreau) est un symbole fort. Il a connu une grande carrière et a toujours été exemplaire. Je suis heureux qu’il ait accepté de parrainer cette opération menée par la LFA. »

Michel Tronson, vice-président de la LFA : « Je suis heureux de constater que la LFA s’engage avec détermination au service de cette cause. C’est sa mission de permettre à tout le monde de prendre du plaisir avec un ballon. Cette opération vise à ouvrir le foot et les clubs à toutes les différences en offrant des espaces de jeu à pour tout le monde. »

Crédit photo : Guillaume Bigot
Crédit photo : Guillaume Bigot

Mickaël Landreau, ancien international (11 sélections), parrain de l’opération
« Avant d’être sollicité à ce sujet, je ne connaissais pas forcément cette maladie. Je me suis informé, j’ai rencontré des patients touchés, et j’ai compris les besoins. C’est notre responsabilité de participer, d’être à l’écoute des autres, de se fixer un but commun avec des personnes qui ont des problématiques différentes, mais une passion commune. »

Professeur Pierre Rochcongar, Président de la Commission Médicale de la FFF :
« Nous sommes partis d’un constat : les médecins sont réticents à signer des certificats d’aptitude aux personnes épileptiques, les clubs hésitent à les inscrire et parfois les joueurs comme leur entourage cachent la maladie par peur des jugements. Nous avons donc souhaité dédramatiser cette maladie et faciliter l’accès à la pratique du football, comme aux autres sports. »

Docteur Arnaud Biraben, Président de la Ligue française contre l’épilepsie (LFCE)
« L’épilepsie est l’une des maladies les plus courantes en neurologie, mais on n’en parle pas. Les malades ne le sont que quelques secondes par semaine ou par mois, donc on a tendance à le cacher. Cette maladie peut faire peur. Il faut lutter contre ça par l’éducation et la prévention. Le sport en général et le foot en particulier ne déclenchent pas de crises. Au contraire, il sont considérés comme traitements adjuvants de la maladie. »

Chikungunya

Un octogénaire est décédé la première semaine de janvier à Tahiti après avoir contracté le chikungunya. Cette disparition porte à 15 le nombre de décès du chikungunya à Tahiti. Les victimes sont majoritairement des personnes âgées de plus de 70 ans qui ont succombé à des phénomènes de décompensation de pathologies chroniques cardiaques, respiratoires, rénales, systémiques (lupus) ou métaboliques (diabète), ou des complications générales (déshydratation, accident thromboembolique, perte d’autonomie). Deux victimes polynésiennes sont des enfants qui n’ont pas survécu à une myocardite aigüe diagnostiquée après l’infection au chikungunya, une jeune adolescente de 11 ans et un nouveau-né de huit jours
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Quatorze décès liés (directement ou indirectement) au chikungunya, tel est le bilan de la veille sanitaire en Polynésie française après trois mois d’épidémie. Les victimes sont majoritairement des personnes âgées de plus de 70 ans qui ont succombé à des phénomènes de décompensation de pathologies chroniques cardiaques, respiratoires, rénales, systémiques (lupus) ou métaboliques (diabète), ou des complications générales (déshydratation, accident thromboembolique, perte d’autonomie). Deux victimes polynésiennes sont des enfants qui n’ont pas survécu à une myocardite aigüe diagnostiquée après l’infection au chikungunya, une jeune adolescente de 11 ans et un nouveau-né de huit jours.
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Troubles du langage : des applis pour petits et grands

ctexdev
Père d’une petite fille autiste, Frédéric Guibet a vite compris que « la tablette tactile était pour sa fille ce que le fauteuil roulant est pour une personne touchée par un handicap moteur ». C’est ainsi qu’a germé l’idée de C..TEXDEV, une start-up caennaise créée en 2012 et spécialisée dans la conception et le développement d’applications de communication. Pour Frédéric, le but était de trouver « des solutions innovantes de communication sur tablette tactile à destination des personnes souffrant de troubles du langage ».
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e-sante

Après l’info, la musique, les jeux, les réseaux sociaux… les favorites de nos androïdes sont les applications de e-santé, des innovations numériques qui ambitionnent de prendre soin de nous ! Gestion du stress, calculateur de dépenses caloriques, mais aussi web TV, consultation online, visionnage d’interventions médicales, décryptage de traitement, visite des hôpitaux… On peut tout faire ou presque désormais en matière de santé 2.0 En vogue ces dernières semaines, l’appli pour géolocaliser -en temps réel- la proximité de cas d’Ebola le plus proche (site ebolanear d’une part, et sur l’application Ebola Tracker, vendue 2,69€ sur l’App Store d’Apple).
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