Actualités, Cancérologie / Oncologie

Octobre Rose, « Oui à la mammographie ! »

Chaque année, la mammographie sauve des vies. Cet examen de référence pour le dépistage du cancer le plus fréquent et le plus meurtrier chez la femme permet la détection des tumeurs de petite taille à un stade précoce, bien avant l’apparition des symptômes. Guère agréable, cette radiographie n’est pour autant pas douloureuse, la compression du sein sur toutes ses faces ne dure que quelques instants. On retient son souffle. On se laisse guider par le manipulateur du mammographe. Puis, on retourne en cabine. Tout en se rhabillant, un peu fébrile, on patiente avant d’échanger avec le radiologue. Si doute il y a, celui demande une échographie. « Ma grand-père paternelle a eu un cancer du sein, c’était dans les années 1980. Elle a subi une ablation du sein, mais fort heureusement elle s’en est sortie ». Delphine à 52 ans, elle bénéficie tous les deux ans d’un dépistage gratuit mis en place dans le cadre du Plan Cancer par par le gouvernement français. Ce dispositif généralisé à tous les départements français en 2005. – permet à toutes les femmes âgées de 50 à 74 ans de bénéficier, tous les deux ans, d’une mammographie prise en charge à 100 % par l’Assurance Maladie sans avance de frais et dans des conditions contrôlées de qualité et de sécurité. 

Le Ruban rose symbole international de la lutte contre le cancer du sein a 30 ans.

C’est aux Etats-Unis en 1985 que la toute première campagne de communication a été lancée. Neuf ans plus tard, en 1994 le groupe Estée Lauder et le magazine Marie Claire s’engageaient ensemble dans la lutte contre le cancer du sein en France en créant un mois de sensibilisation nommé « Le Cancer du Sein, Parlons-en ! » En 2003, l’association du même nom est créée, avant d’être rebaptisée Ruban Rose en 2020.

Désormais associé à la lutte contre le cancer du sein, le mois d’octobre se teinte de rose et se conjugue au pluriel tant les actions de sensibilisation au dépistage notamment à l’auto-palpation et au suivi gynécologique régulier sont nombreuses. Les soignants et les malades prennent même la parole. Le sujet n’est plus tabou.

Conférences, événements sportifs, ludiques, artistiques ou culturels, collectes de fonds pour la rechercher médicales… Si le programme est exponentiel, l’objectif est toujours le même : promouvoir le dépistage précoce du cancer du sein afin de lutter contre cette terrible maladie qui emporte chaque année des filles, des femmes et des mères.
Claire Chunlaud Programme des événements organisés par l’association Ruban rose ici
#Octobrerose #Cancer #dépistage #Rubanrose #oncologie #prévention #sensibilisation

Cancérologie / Oncologie, Urologie

Cancer de la vessie : surveillez vos urines

Le cancer de la vessie touche chaque année en France de 13 000 à 20 000 personnes. Il est 4 fois plus fréquent chez les hommes. Diagnostiqué autour de l’âge de 70 ans, c’est le 2e cancer urologique après le cancer de la prostate. 5000 malades par an succombent à ce cancer (77% d’hommes). À ce jour, il n’existe pas de méthode validée de dépistage systématiques de ces tumeurs. La détection précoce gage d’une prise en charge efficiente est liée aux symptômes qui doivent alerter. Le principal -présent dans 80% à 90% des cas de cancer de la vessie est : l’hématurie (la présence de sang dans les urines est de loin le symptôme le plus fréquent) mais parfois aussi, les cystites à répétition ou encore les troubles de la miction. Autant de signes qui doivent pousser les personnes à consulter leur médecin rapidement.

Quand le cancer de la vessie est pris à temps la survie est de + de 80 % à 5 ans. Si le diagnostic est réalisé plus tard seulement 50 % de survie et 5 % au stade métastatique. Le tabagisme actif est le 1er facteur de risque du cancer de la vessie. En France, le tabagisme serait responsable de 53% des cas de cancer de la vessie chez les hommes et 39% chez les femmes.

De nouvelles thérapies sont en cours de développement

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Cancérologie / Oncologie

L’hadronthérapie : une radiothérapie nouvelle génération qui cible les tumeurs radiorésistantes ou/et inopérables

Chaque année en France 150 000 patients sont traités pour leurs cancers par radiothérapie, seule ou associée à la chimiothérapie ou à la chirurgie. Ces traitements permettent déjà une rémission complète dans une majorité de cas. Mais une technique de lutte contre le cancer de pointe laisse espérer de nouveaux progrès : l’hadronthérapie. « Celle-ci est particulièrement indiquée pour les tumeurs résistantes à la chimio- et à la radiothérapie, ou inopérables du fait de leur localisation près de tissus vitaux : tumeurs cérébrales, du crâne, de la face ou du cou, près du cœur ou de l’œil, etc. », détaille Jacques Balosso, cancérologue et radiothérapeute au CHU de Grenoble à nos confrères du Journal du CNRS.

L’hadronthérapie est une nouvelle forme de radiothérapie qui n’utilise pas de rayons X comme la radiothérapie conventionnelle, mais un faisceau de hadrons, notamment des protons (protonthérapie) et des ions carbone (carbonethérapie). Elle permet l’irradiation des cellules cancéreuses avec une seule énergie et une seule position du faisceau de particules. L’hadronthérapie concentre la dose d’irradiation sur le volume cible (tumeur radiorésistante et/ou inopérable) afin d’obtenir un effet destructeur important sur les cellules cancéreuses tout en ayant un faible impact sur les cellules saines présentent sur le parcours des ions. Ce traitement concerne des cancers détectés précocement et qui n’ont pas encore eu le temps de se propager. Il est utilisé notamment pour les cancers chez les enfants et les jeunes adultes. Mais à terme l’hadronthérapie pourrait concerner 15 000 patients chaque année en France.

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Bien-être, beauté, Cancérologie / Oncologie, Made in France : Soins et bien-être, Testé pour vous !

Sérénibio : prend soin des peaux les plus fragilisées

C’est notre coup de coeur de cet automne 2021. Une gamme de produits cosmétiques pour peaux fragilisées, meurtries, malmenées par les traitements contre le cancer, pour les peaux hyper réactives, sensibles à l’extrême… Cette gamme innovante est signée par les #laboratoiresROIG, elle s’appelle #serenibio.

OUI, LES FEMMES ATTEINTES D’UN CANCER ONT AUSSI LE DROIT À LA BEAUTÉ !

A la veille d’Octobre rose, mois de sensibilisation au dépistage du cancer du sein, coup de projecteur Sérénibio la toute première marque de soins phytocosmétiques BIO fabriquée en France et développée pour les personnes atteintes de cancer. 

Sérénibio a scrupuleusement sélectionné des ingrédients puisés au coeur de la nature pour ses 12 soins visage et corps qui répondent aux besoins de la peau au quotidien, avant, pendant et après un traitement. l’ingrédient phare, la Centella Asiatica, est une plante légendaire qui possède d’incroyables propriétés : actions cicatrisantes, apaisantes et régénérantes. Les Laboratoires ROIG sont pionniers dans l’utilisation de la Centella Asiatica depuis 1972.

On a testé, on a aimé et on vous dit pourquoi !

Des soins caressants, hydratants pour un moment de cocooning intense avec soi.

Nous avons testé deux produits de la gamme Sérénibio le shampooing et le lait hydratant cica-apaisant. On a ADORE. C’est 10/10 pour la texture, la pénétration et la sensation de bien-être. Des soins caressants, hydratants pour un moment de cocooning intense avec soi. Le lait hydratant -à utiliser sur le corps et le cuir chevelu- a des vertus réparatrice, apaisante, nourrissante. Il a permis de calmer les peaux les plus réactives et sans effet pommade ce qui n’est pas toujours le cas dans les soins phyto… Bravo !

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à lire, Cancérologie / Oncologie, Témoignages

En librairie le 12 octobre : « Plus jamais seuls face au cancer » – 100 témoignages de malades, de soignants et d’aidants

Le 12 octobre prochain, « Plus jamais seuls face au cancer » l’ouvrage témoignages qui recense la parole d’une centaine de malades, de soignants et d’aidants sera en librairie. (Il est déjà en pré-vente cliquez ici). C’est un événement pour Luz d’Ans et son équipe, trois ans quasiment jour pour jour, après le lancement de l’aventure #CMyNewMe, un forum sur Facebook qui donne la parole à celles et ceux qui vivent ou ont vécu le cancer. Des bons mots sur le chemin de la guérison sociale.

Tout commence le 13 octobre 2018, Luz d’Ans « célèbre » ses 5 ans de rémission du cancer du sein qui avait mis sa vie et celle de son bébé en danger. C’est pour elle, comme un journal intime qu’elle partage dans sa sphère personnel, un réseau de proches, mais son  témoignage va porter plus loin que son groupe d’amis. En quelques jours, il est partagé plus de 600 fois et est lu par 44.000 personnes  !

Très vite, les témoignages d’anonymes affluent dont ceux de Sophie et de Mary-Tahra. Luz les repère et leurs demande de l’épauler dans la gestion de la page. Puis elle sollicite son amie Elodie pour créer le logo #CMyNewMe. Deux autres personnes, repérées parmi les fans de la Page, complèteront la dream-team : Magali en novembre 2018 et Nanou en février 2019. Six femmes de talents qui ne se connaissaient pas et ne vivaient pas au même endroit, se sont retrouvées autour de ce même projet de cette même vision. Il fallait libérer la parole, permettre à toutes celles, tous ceux qui en éprouvaient le besoin d’y avoir accès, de crier, de revendiquer, de raconter… de se reconstruire.

Depuis trois ans, chaque semaine, patients, aidants ou soignants partagent leur expérience sous forme de témoignages. Aujourd’hui, #CMyNewMe est suivi par plus de 5 000 fans en France, Europe, Afrique du Nord, Asie, et Amérique du Nord, le collectif #CMyNewMe partage chaque semaine de nouveaux témoignages.

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Cancérologie / Oncologie, La recherche médicale

Mobilisez-vous pour porter l’espoir, participez à l’événement « Une Jonquille contre le cancer » !

En mars 2021, l’Institut Curie fait fleurir l’espoir à l’occasion de la 17e édition de sa campagne nationale Une Jonquille Contre le Cancer. Mobilisons-nous dans la France entière afin de collecter un maximum de dons pour soutenir la recherche et l’innovation médicale contre le cancer. Ensemble, sensibilisons le plus grand nombre à l’importance de cette grande cause. Ensemble, portons l’espoir !

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Bien-être, beauté, Cancérologie / Oncologie, Des entrepreneurs incroyables !, Made in France : Soins et bien-être

Les #Franjynes innovent avec des alternatives très fashion à la perruque

Les Franjynes, la marque azuréenne qui coiffe autrement les femmes atteintes d’alopécie, est de retour avec un tout nouveau produit : les «Franges reverse». Lancée sur un concept innovant de franges en fibres synthétiques haut de gamme associées à un turban, les Franjynes poursuit son ascension en offrant une nouvelle prothèse capillaire résolument féminine et très tendance.

Au-delà d’une simple prothèse capillaire, les « Franges » et les « Franges reverse »
sont envisagées comme une alternative originale, confortable et stylée à la perruque.
Plus qu’un accessoire capillaire, c’est un véritable accessoire de mode pour toutes les femmes et surtout celles qui ont soif de féminité en phase de reconstruction après un cancer que propose Les Franjynes. Un accessoire qui va permettre à chacune de reprendre confiance, de renouer avec sa féminité, et son image en toute discrétion, tout en apportant une touche pop et colorée à son look.

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Cancérologie / Oncologie

#OctobreRose : Oui à la mammographie !

Ce fichu virus omnipotent s’accapare les médias depuis sept mois, rendant quasiment invisible les autres pathologies. Le confinement -nous l’évoquions dans un autre post- a fait son lot de victimes. Les reports d’examens, d’interventions ont eu des conséquences dramatiques pour bon nombre de malades. Certains hésitent encore à pousser la porte du cabinet médical, du laboratoire. Parmi ces dommages collatéraux, le dépistage précoce du cancer du sein. Des semaines sans consultation, sans avis médical. Et, en silence, des tumeurs non détectées par les mammographies reportées, ont grossi réduisant les chances de guérison et de survie de nombre de femmes. Conscients de cette catastrophe annoncée, les oncologues n’ont de cesse que de rappeler la nécessité de ce dépistage, d’inciter les femmes à retrouver le chemin des cabinets médicaux. « Il y a des risques d’aggravation de la maladie si on ne distingue pas des cancers à un stade précoce. Si on passe d’un cancer du sein sans atteinte des ganglions diagnostiqués en février, à un diagnostic quatre mois plus tard, il peut être métastatique, donc plus compliqué à être soigné« , prévient Anthony Gonçalves, oncologue à l’Institut Paoli-Calmettes (IPC) de Marseille, joint par La Provence. Le cancer du sein, c’est 60 000 nouveaux cas et 12 000 décès par an en France. Le taux de mortalité a diminué en 15 ans, le Covid pourrait changer la donne. Cette année, encore plus qu’hier, la campagne d’information Octobre Rose est cruciale.

Témoigner, expliquer, informer. « Non » la mammographie n’est pas un examen douloureux. « Oui » c’est désagréable d’avoir un sein compressé entre deux plaques froides. Mais cela ne dure que qlq instants, et puis, le plus pénible finalement c’est d’attendre la rencontre avec le médecin pour connaître le résultat de la mammo.

Des initiatives partout en France et dans le monde sont organisées pour sensibiliser les femmes à la nécessité de ce dépistage, mais là encore le Covid met son grain de sel partout. L’interdiction de se rassembler a sonné le glas de nombre de conférences, d’événements y compris en extérieur.

Cancérologie / Oncologie

Cancer du sein : pendant les fêtes, les bénévoles de Vivre Comme Avant sont là !

En cette période de fêtes de fin d’année, où l’esprit de Noël est bien malmené par les tensions, les conflits et la crise sociale que nous traversons, nous partageons avec conviction cette lettre rédigée par l’association Vivre comme avant, un message de soutien et d’espoir pour les femmes qui luttent contre un cancer du sein et n’auront guère le cœur à la fête. L’association Vivre Comme Avant a été fondée et est animée par des femmes bénévoles, des survivantes du cancer du sein. C’est la seule association en France a proposé cet accompagnement personnalisé avec visites à l’hôpital, contact téléphonique, une écoute et une bienveillance au long court. A ce jour, 10 000 femmes sur les 50 000 qui luttent contre la maladie sont aidées et soutenues par des femmes bénévoles de Vivre Comme Avant qui, elles aussi, ont eu un cancer du sein. Des services gratuits et adaptés à vos besoins.

« Alors que tous et toutes autour de vous se préparent pour les fêtes de fin d’année, que les rues, les vitrines, les maisons s’illuminent… Pour certaines femmes, ce n’est pas le bon moment… Vous venez d’apprendre que vous avez un cancer du sein, vous suivez un traitement de chimiothérapie, vous attendez les résultats d’examens… Alors, le cœur n’y est pas.

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Cancérologie / Oncologie

En Novembre, la Moustache est tendance !

Cet hiver, Jules enseigne nationale de prêt-à-porter masculine s’associe à la créatrice française Coucou Suzette autour d’une action de collecte de dons au profit de l’association Movember qui oeuvre pour faire avancer la recherche pour la santé masculine. Les deux marques françaises ont ainsi imaginé et créé ensemble un pin’s fun & collector disponible dès le 1er novembre et offert pour tout don supérieur ou égal à 2€ au profit de l’association Movember. Chaque année en novembre, cette association incite les hommes à se laisser pousser la moustache en signe de ralliement, l’inscription à l’opération permet de collecter des dons, mais aussi de sensibiliser l’opinion publique aux maladies masculines (cancer de la prostate, des testicules, santé mentale et suicide).

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