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Vous avez une décision médicale importante à prendre ? Et si vous preniez un 2e avis ?

Après un diagnostic, une préconisation de traitement ou d’intervention, n’avez-vous jamais douté ? Avant de vous décider à suivre un protocole ou subir un acte de chirurgie, un deuxième avis ne vous a jamais tenté ?

Depuis 2016, une plateforme baptisée simplement Deuxiemeavis.fr permet de faire étudier son dossier médical par un médecin expert en 7 jours ! C’est un service innovant et sécurisé dédié au malade et à son médecin pour permettre au patient, avant une décision médicale importante d’obtenir un second avis médical. Deuxiemeavis.fr oeuvre à réduire l’inégalité sociale et territoriale d’accès à l’expertises médicale en cas de problème de santé sérieux.

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Bonne Année 2016

Chers amis et lecteurs de Parlonssante.com, en ce début janvier, la rédaction vous souhaite une excellente année 2016, que les douze prochains mois puissent voir la concrétisation de vos désirs dans tous les domaines personnels et professionnels. Prenez soin de vous, bonne année !

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Tatouage polynésien -Crédit Photo : parlonssante.com
Tatouage polynésien -Crédit Photo : parlonssante.com

Aujourd’hui en Europe, les tatoueurs travaillent en respectant les normes de leur pays. Afin d’harmoniser ces procédures et de garantir la même exigence de sécurité, d’hygiène pour tous les clients qui poussent la porte des tatoueurs européens, une norme est à l’étude depuis 2014 à l’initiative de l’Allemagne. Compétences requises pour exercer, pratiques dÂ’hygiène codifiées (désinfections, stérilisation, gestion des déchets), mais aussi modalités dÂ’informations du consommateur, procédures de soins pour le tatoué… Toute la profession sera passée au crible. Ce projet entre dans le cadre de la lutte contre les tatoueurs clandestins. Le tatouage médical est exclu du projet, mais le maquillage permanent qui repose sur les techniques de tatouages en fait partie. Il ne sÂ’agit pas de réglementation, mais bien dÂ’une norme dÂ’application volontaire. Elaborée de manière collective par les acteurs concernés de tous les pays européens qui souhaitent participer, la future norme est attendue pour 2017.

Malgré des actions de sensibilisation réalisées depuis plusieurs mois, la France n’est toujours pas, à ce jour, impliquée dans le projet européen, du fait du manque de participants à la commission AFNOR. Tous les acteurs intéressés peuvent participer et s’associer au financement de son activité. Les tatoueurs, les formateurs, les esthéticiennes, les professionnels de la santé et de l’hygiène sont les premiers concernés. La direction générale de la santé a déjà exprimé son souhait de prendre part au travail. La commission de normalisation nationale a pour vocation de préparer des contributions au projet européen. C’est une occasion à saisir pour contribuer à la professionnalisation du métier et de valoriser le savoir-faire français. La prochaine réunion de travail européenne est prévue le 17 avril à Berlin.

Une fois la norme volontaire publiée, elle pourra être utilisée par les professionnels du secteur afin de promouvoir leur savoir-faire. Ils pourront ainsi donner confiance aux consommateurs en mettant en avant leur conformité à cette norme.

Vous êtes tatoueurs, esthéticiennes, professionnels de santé ? Vous pouvez participer à cette commission pour faire entendre votre voix. Pour rejoindre la commission de normalisation AFNOR et participer à ce projet européen, contacter francois.thomassin@afnor.org

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Crédit photo : Guillaume Bigot
Crédit photo : Guillaume Bigot

Le lancement de la campagne « Football et épilepsie » sÂ’est tenue au siège de la Fédération française de football (FFF), en présence de Bernard Desumer, vice-président de la FFF, Mickaël Landreau, parrain de lÂ’opération, Michel Tronson, vice-président de la LFA, et Pierre Rochcongar, Président de la Commission Médicale de la Fédération.

Cette campagne est basée sur une communication large, qui sera complétée par des formations décentralisées dans les ligues et les districts, auprès des entraîneurs, dirigeants, arbitres et joueurs, en lien avec les médecins fédéraux, sur le modèle de lÂ’opération « Les gestes qui sauvent ». La Ligue contre l’épilepsie met à disposition, dans chaque région, un ou plusieurs noms de médecins épileptologues volontaires référents, afin de répondre à toute demande complémentaire ou dÂ’expertise qui pourrait être exprimé, en particulier par les médecins des ligues et des districts de football.

Crédit photo : Guillaume Bigot
Crédit photo : Guillaume Bigot

Bernard Desumer, vice-président de la FFF : « Le football ne se résume pas à la compétition et à l’élite. Il a également une mission d’éducation, notamment auprès des jeunes qui représentent 1 million de nos licenciés, et un rôle à jouer dans les domaines social et médical. Depuis quelques années nous menons une action autour des gestes qui sauvent, aujourdÂ’hui nous cherchons à permettre aux épileptiques de jouer au foot. CÂ’est un tort de penser que les personnes atteintes ne peuvent pas sÂ’adonner au sport. Le soutien de Mickaël (ndlr : Landreau) est un symbole fort. Il a connu une grande carrière et a toujours été exemplaire. Je suis heureux quÂ’il ait accepté de parrainer cette opération menée par la LFA. »

Michel Tronson, vice-président de la LFA : « Je suis heureux de constater que la LFA sÂ’engage avec détermination au service de cette cause. CÂ’est sa mission de permettre à tout le monde de prendre du plaisir avec un ballon. Cette opération vise à ouvrir le foot et les clubs à toutes les différences en offrant des espaces de jeu à pour tout le monde. »

Crédit photo : Guillaume Bigot
Crédit photo : Guillaume Bigot

Mickaël Landreau, ancien international (11 sélections), parrain de l’opération
« Avant d’être sollicité à ce sujet, je ne connaissais pas forcément cette maladie. Je me suis informé, jÂ’ai rencontré des patients touchés, et jÂ’ai compris les besoins. CÂ’est notre responsabilité de participer, d’être à l’écoute des autres, de se fixer un but commun avec des personnes qui ont des problématiques différentes, mais une passion commune. »

Professeur Pierre Rochcongar, Président de la Commission Médicale de la FFF :
« Nous sommes partis dÂ’un constat : les médecins sont réticents à signer des certificats dÂ’aptitude aux personnes épileptiques, les clubs hésitent à les inscrire et parfois les joueurs comme leur entourage cachent la maladie par peur des jugements. Nous avons donc souhaité dédramatiser cette maladie et faciliter lÂ’accès à la pratique du football, comme aux autres sports. »

Docteur Arnaud Biraben, Président de la Ligue française contre l’épilepsie (LFCE)
« L’épilepsie est lÂ’une des maladies les plus courantes en neurologie, mais on nÂ’en parle pas. Les malades ne le sont que quelques secondes par semaine ou par mois, donc on a tendance à le cacher. Cette maladie peut faire peur. Il faut lutter contre ça par l’éducation et la prévention. Le sport en général et le foot en particulier ne déclenchent pas de crises. Au contraire, il sont considérés comme traitements adjuvants de la maladie. »

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Alors que la Justice s’intéresse à un 4e décès suspect de nouveau-né à la maternité de l’hôpital de Chambéry, qui était également alimenté comme les trois autres petites victimes, avec des poches de nutriments fabriqués par le laboratoire Marette. Une enquête nationale va être lancée, annonce de Marisol Touraine, Ministre de la Santé. En savoir plus

General, Scandales

L’impensable ! Des nourrissons empoisonnés par des poches de nutriments, comment est-ce possible en 2014 en France ? Comment des poches de transfusion alimentaire contaminées peuvent se retrouver dans des maternités françaises ? On peut, bien sûr, formuler, reformuler, rereformuler… L’impensable c’est pourtant bien produit ! Milie, Chloé et Théo sont morts, des parents sont ravagés par le chagrin, des familles sont brisées ! Trois nourrissons sont morts à l’hôpital de Chambéry, ils ne sont pas morts d’insuffisance, ou de malformations, ni de la fameuse « mort subite », mais d’un empoisonnement, d’une négligence, d’une erreur humaine… car forcément qu’il y a eu erreur, négligence pour que ces poches de nutriments se soient retrouvées suspendues au dessus des berceaux ! Les parents des petites victimes attaquent l’hôpital de Chambéry, qui de son côté déposé plainte contre X. La ministre de la Santé et les autorités sanitaires assurent que toutes les poches contaminées ont été retirées. Le parquet a ouvert une enquête préliminaire après la mort des trois nourrissons à lÂ’hôpital de Chambéry début décembre pour déterminer les causes de ce drame et surtout les responsabilités : l’hôpital de Chambéry ou le fabriquant des poches un laboratoire français dont le nom n’a pas été encore dévoilé ?

General, Sida

Sida : lutter contre la contamination des enfants

En 2010, dans le monde, 34 millions d’adultes et d’enfants vivent avec le VIH. 22.9 millions vivent en Afrique, dont 11.8 millions de femmes et 3.1 millions d’enfants. Cette année, ce sont même 390.000 enfants qui ont été infectés par le VIH lors d’une transmission de la mère à son enfant. Pourtant, des mesures préventives, visant à réduire les risques de transmission du virus, existent et ont démontré leur efficacité : en Occident, leur application a permis de réduire la transmission du VIH de la mère à son enfant à moins de 1 %. Devant cette injustice. Vous pouvez visionner cette campagne à l’adresse : http://www.sidaction.org/transmission-mere-enfant/

Sources Sidaction

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Vous êtes une jeune maman attentive et un brin protectrice. A l’approche de votre séjour aux Antilles où une épidémie de dengue sévit vous craignez que votre poupée soit dévorée par les moustiques car pas question de laisser Louise sur le carreau, elle part avec vous ! Ne vous affolez pas des solutions existent. Mais vous avez raison d’être prudente, outre les maladies comme la dengue bien sûr, mais aussi la filariose dans certaines régions du monde, les piqûres peuvent s’infecter. Commencez par couvrir bébé, pas à l’étouffer sous une couverture bien sûr, mais une chemise à manche longue et un pantalon léger feront l’affaire. N’oubliez pas aussi de glisser dans vos bagages, un flacon de lait répulsif utilisable dès 6 mois. Il en existe plusieurs, MoustiKologne de la société Semes et Moustidose de chez Gilbert qui le commercialise, ils n’irritent pas la peau, sont hypoallergéniques. Moustidose est un lait hydratant également.
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Il existe en format court ou long séjour et offre jusqu’à 12H de protection, bon je vous recommande d’en mettre quand même plusieurs fois par jour car n’oubliez pas que bb transpire. La nouveauté de l’été chez Gilbert c’est une agréable senteur d’amande douce. Prix: 6,75€