Alimentation, Gastro-entérologie

Maladie de Crohn : 9 ados relèvent le défi à vélo !

De Redon à Roubaix sur les traces du « Tour de France », neuf ados âgés de 13 à 14 ans se sont dépassés au profit de la Fondation DigestScience… à vélo ! Bravo à Antoine, Enzo, Lucas, Maëlys, Marie, Noah, Nolan, Thibaut et Timothée qui ont parcouru les 50 derniers kilomètres de 7 étapes du « Tour de France », quelques minutes avant les professionnels. Un défi sportif afin de récolter des dons en faveur de la recherche médicale sur la maladie de Crohn tout en attirant l’attention des médias et du grand public sur cette pathologie qui a doublé chez les jeunes en quelques années !

C’est la 5e édition de ce challenge porté par la Fondation #DigestScience. Résultat de leur course : 13 948 euros pour la recherche, pour aider à trouver les causes de la maladie de Crohn et enfin pouvoir la prévenir et la guérir.

 

Se dépasser pour faire reculer la maladie de Crohn c’est aussi le leitmotiv du navigateur Romain Rossi qui court sous les couleurs de la Fondation DigestScience et qui vient de se qualifier ce samedi 28 juillet pour participer en novembre prochain à la Route du Rhum – Destination Guadeloupe !

A propos de la Fondation DigestScience

Unique fondation d’utilité publique en France entièrement dédiée à la recherche sur les pathologies digestives et la nutrition. Maladie de Crohn, rectocolite hémorragique, maladie cœliaque, syndrome de l’intestin irritable…Les maladies digestives sont un véritable problème de santé publique puisqu’elles touchent aujourd’hui près de 15 % de la population française et connaissent une progression inexpliquée à ce jour notamment chez les enfants.

De 2018 à 2022, DigestScience veut trouver les causes environnementales (puisque le facteur génétique est très faible) de la maladie de Crohn et, enfin, pouvoir prévenir puis guérir de cette pathologie douloureuse, invalidante et taboue. DigestScience  a mis en place dès 2009 un team sportif.  Parrainé par Cédric Vasseur, il rassemble aujourd’hui plus de 550 membres bénévoles, des sportifs amateurs et professionnels, aguerris et débutants, jeunes et moins jeunes, bien portants ou malades, pour porter haut les couleurs de la lutte contre la maladie.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de la Fondation DigestScience.

Alimentation, Gastro-entérologie

Chaque année, 17 000 Français décèdent d’un cancer du colon, dans 90% des cas, grâce à sa prévention et à son dépistage, ce peut être évité. Lorsqu’il est détecté de petite taille les chances de guérison augmentent considérablement passant de 20 à 90 %. Pour inciter le grand public à se faire dépister, les 400 hépato gastro-entérologues français ouvriront leur cabinet pour des consultations gratuites le 24 mars prochain.
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Les médecins spécialistes rappellent qu’il « faut faire un test de dépistage tous les deux ans après 50 ans ou consulter un spécialiste s’il existe des symptômes intestinaux ou des facteurs de risques afin de faire une coloscopie pour ne pas passer au travers, car sans le savoir, vous êtes peut-être assis sur un cancer ». Afin de mieux connaître cette maladie, Parlonssante.com est allé à la rencontre d’un gastro-entérologue qui participe à cette journée de mobilisation nationale, le docteur Eric Vaillant.

INTERVIEW
Avec 42.000 cas découverts chaque année, le cancer colo-rectal est le deuxième cancer le plus meurtrier en France, tuant plus de 17.000 personnes par an. Qui est le plus touché dans la population ? Les hommes, les femmes et quelle tranche d’âge ?
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Docteur Eric Vaillant : « Les hommes sont plus touchés, mais le cancer colo-rectal est le 2e cancer de la femme après le sein. Le risque est notable à partir de 50 ans et augmente régulièrement avec l’âge, le risque est très important après 85 ans ».

Comment se déroule une consultation de dépistage ?
Docteur Eric Vaillant : « Il débute par un interrogatoire sur les antécédents personnels et familiaux, sur les symptômes et les prises médicamenteuses, et par une information sur les tests et la coloscopie (information écrite sur le risque) et au choix éclairé en fonction des recommandations actuelles et des convictions du médecins ».

Quels sont les signes évocateurs qui doivent inciter à consulter son médecin ?
Docteur Eric Vaillant : « Le cancer colo-rectal ne donne pas de symptômes pendant 2 à 3 ans (d’où l’importance d’un dépistage préalable aux symptômes, NDLR). Les symptômes sont mineures : douleur abdominales, troubles du transit intestinale, sang dans les selles, faux besoin, glaires. Les symptômes les plus graves surviennent à un stade trop avancé, et où on ne peut souvent plus rien faire : Il s’agit d’une altération de l’état général, d’un amaigrissement, d’une asthénie, d’anorexie, d’occlusion intestinale ».

La présence de sang dans les selles doit-elle être toujours prise très au sérieux ?
Il y a toujours une pathologie grave derrière ce type de symptômes ?

Docteur Eric Vaillant : « Non 10 % de cancer et c’est souvent des hémorroïdes qui saignent, mais tant qu’on a pas fait d’examen on ne peut pas le savoir. Il est donc recommandé de voir systématiquement un gastro-entérologue lorsque l’on constate du sang dans les selles ».
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Cancérologie / Oncologie, Gastro-entérologie

Chaque année, 17 000 Français décèdent d’un cancer du colon. Dans 90% des cas, grâce à sa prévention et à son dépistage, ce peut être évité, lorsqu’il est dépisté de petite taille ses chances de guérison augmentent considérablement passant de 20 à 90 %. Pour inciter le grand public à se faire dépister, les 400 hépato gastro-entérologues français ouvriront leur cabinet pour des consultations gratuites le 24 mars prochain.
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Les médecins spécialistes rappellent qu’il « faut faire un test de dépistage tous les deux ans après 50 ans ou consulter un spécialiste s’il existe des symptômes intestinaux ou des facteurs de risques afin de faire une coloscopie pour ne pas passer au travers, car sans le savoir, vous êtes peut-être assis sur un cancer ». Afin de mieux connaître cette maladie, Parlonssante.com est allé à la rencontre d’un gastro-entérologue qui participe à cette journée de mobilisation nationale, le docteur Eric Vaillant.

INTERVIEW
Avec 42.000 cas découverts chaque année, le cancer colo-rectal est le deuxième cancer le plus meurtrier en France, tuant plus de 17.000 personnes par an. Qui est le plus touché dans la population ? Les hommes, les femmes et quelle tranche d’âge ?
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Docteur Eric Vaillant : « Les hommes sont plus touchés, mais le cancer colo-rectal est le 2e cancer de la femme après le sein. Le risque est notable à partir de 50 ans et augmente régulièrement avec l’âge, le risque est très important après 85 ans ».

Comment se déroule une consultation de dépistage ?
Docteur Eric Vaillant : « Il débute par un interrogatoire sur les antécédents personnels et familiaux, sur les symptômes et les prises médicamenteuses, et par une information sur les tests et la coloscopie (information écrite sur le risque) et au choix éclairé en fonction des recommandations actuelles et des convictions du médecins ».

Quels sont les signes évocateurs qui doivent inciter à consulter son médecin ?
Docteur Eric Vaillant : « Le cancer colo-rectal ne donne pas de symptômes pendant 2 à 3 ans (d’où l’importance d’un dépistage préalable aux symptômes, NDLR). Les symptômes sont mineures : douleur abdominales, troubles du transit intestinale, sang dans les selles, faux besoin, glaires. Les symptômes les plus graves surviennent à un stade trop avancé, et où on ne peut souvent plus rien faire : Il s’agit d’une altération de l’état général, d’un amaigrissement, d’une asthénie, d’anorexie, d’occlusion intestinale ».

La présence de sang dans les selles doit-elle être toujours prise très au sérieux ?
Il y a toujours une pathologie grave derrière ce type de symptômes ?

Docteur Eric Vaillant : « Non 10 % de cancer et c’est souvent des hémorroïdes qui saignent, mais tant qu’on a pas fait d’examen on ne peut pas le savoir. Il est donc recommandé de voir systématiquement un gastro-entérologue lorsque l’on constate du sang dans les selles ».

Si un membre de sa famille, un parent a été concerné, faut-il se faire dépister ?

Docteur Eric Vaillant : « Oui par Coloscopie exclusivement car ceci aura un effet préventif (réduction du risque de 70 à 90 % à 5 ans et jusqu’à 10 ans). »

Quelle est la part d’hérédité en matière de cancer du côlon ?
Docteur Eric Vaillant : « 1/3 surviennent dans un contexte familial, 5 % dans le cadre de syndrome génétique de cancer du colon héréditaire (syndrome de Lynch) ».

Quel est le traitement ? Une chirurgie ? Quelles sont les chances de survie ? Est-ce un cancer agressif ?

Docteur Eric Vaillant : « S’il s’agit d’un cancer du colon isolé pris au stade précoce dit superficiel, le traitement lors de la coloscopie (polypectomie ou mucosectomie), la survie est proche de 100 %. Sinon il y a la chirurgie. Si il y a des ganglions positifs (stade 3) sur la pièce opératoire, il faudra au moins 6 mois de chimiothérapie dite adjuvante après la chirurgie. La survie du patient est de stade 1 : 90-95 % – stade 2 : 80 % – stade 3 : 70 %.

Parlonssante.com Image-polype
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Dans le cas d’un cancer du colon avec métastases (50 % des cas au stade ou on découvre ce cancer actuellement en France devant des symptômes) : il y aura de la chimiothérapie puis de la chirurgie du colon, puis à nouveau de la chimiothérapie, puis de la chirurgie du foie et/ou des poumons si les métastases sont résécables (retirables), il y aura encore un traitement par chimiothérapie soit environ 1 an de traitement pour un taux de survie de 20 %. Si les métastases ne sont pas résécables, il y aura de la chimiothérapie, mais la survie des patients est de 26 à 28 mois (un taux de survie de 0-2 %). En gros pas, pas d’espoir de survie s’il n’y a pas de chirurgie possible pour tout retirer….

La France est-elle plus ou moins concernée que ses voisins européens et au niveau mondial ?
Docteur Eric Vaillant : « C’est un cancer des pays les plus développés (135 00 cas/ aux USA) la France est dans la moyenne européenne en terme d’incidence (variation de 1 à 5 au sein de l’union Européenne) avec des taux très importants dans les pays d’Europe centrale et en Norvège, Danemark et pays bas pour les femmes. Taux faible dans les Balkans et en Grèce ».

Réclamés par les spécialistes et aussi par La Ligue contre le cancer, les nouveaux tests immunologiques de dépistage du cancer du côlon seront-ils bien disponibles dès le mois de mars comme annoncé en décembre par la ministre de la Santé ?
Docteur Eric Vailllant : « Non, à priori en avril mais on attend de voir (promesse de politicien), en attendant l’hemoccult n’est plus disponible … »

Comment fonctionne ce nouveau test immunologique ?
Docteur Eric Vaillant : « C’est le même principe sauf qu’il s’agit d’un anticorps monoclonal qui repères spécifiquement l’hémoglobine humaine (meilleure sensibilité et spécificité du test) avec un seul prélèvement de selles au lieu de 6 et avec moins de manipulation des selles. Il dépiste donc mieux le sang, mais ne pourra jamais dépister ce qui ne saigne pas sur l’échantillon de selles prélevé ».

Pourquoi sa mise sur le marché, a-t-elle été si longue, il est attendu depuis 2008 ? On aurait donc pu sauver plus de vies ?

Docteur Eric Vaillant
: « L’augmentation de la sensibilité va augmenter le nombre de coloscopies et entraîner un coût supplémentaire immédiat pour l’assurance maladie, ensuite la stratégie à mettre en œuvre, en France fait débat et chaque pays développé a une stratégie différente. Ce choix a été celui d’une réflexion qui toutefois a exclu les spécialistes puisque ce sont les pouvoirs publiques et l’assurance maladie qui décident. D’autre part, un appel d’offre est nécessaire pour le choix du test immunologique avec des risques de contestations juridiques.

En 2008, c’est le test hemoccult qui a été lancé. De nombreuses vies pourraient être sauvées et des cancers évités si on incitait à faire une coloscopie qui est la méthode la plus efficace en terme de dépistage mais surtout de prévention ou en tout cas si on informait clairement la population sur les performances des test (médiocres) et si on laissait chacun maître de choisir son dépistage ou sa prévention comme cela est fait depuis de nombreuses années aux USA (libre choix de la méthode) et en Allemagne (hemoccult ou coloscopie). Les personnes sont différentes et les objectifs personnels de chacun aussi il faut laisser, là aussi, de la liberté plutôt que de vouloir imposer une technique unique qui ne convient pas a tout le monde ».

Est-ce qu’une alimentation équilibrée riche en fruits et légumes et limitée en terme de consommation de viandes rouges, de charcuterie est vraiment bénéfique pour prévenir ce type de cancer ?
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Docteur Eric Vaillant : « Oui tout à fait. A contrario, une alimentation faible en fibres et en légumes verts, riche en viandes rouges, pauvre en viandes blanches et en poissons, riche en alcool, riche en aliments frits accroît les risques. Sans oublier le tabac, l’obésité, la sédentarité qui sont également autant de facteurs de risques.

Que penser des techniques dites « douces » comme la consommation de cucurma cette épice qualifiée par certains de «puissant anti-cancéreux»?  Ou bien des vertus du thé noir ?
Docteur Eric Vaillant : « Il faut attendre des études sérieuses et multiples qui confirment ces données, mais comptez plutôt sur le dépistage et la prévention, c’est plus efficace !

Propos recueillis par Cl. Chunlaud

Vous cherchez un spécialiste près de chez ?
Les inscriptions se font au préalable auprès des 71 praticiens participants d’ILE DE FRANCE dont la liste est à consulter sur : http://www.prevention-cancer-du-colon.fr/liste_medecins.php

L’occasion pour le grand public de s’informer sur les tous nouveaux tests de dépistage, plus efficaces que les précédents, les facteurs de risques afin de mieux se prémunir. En parler, c’est déjà se soigner, et c’est prendre le chemin d’une action efficace et protectrice pour chacun d’entre nous.

Gastro-entérologie

Si je vous dit : « frissonnements », « nausées », « vomissements », « diarrhées », vous me répondez ? Gastro-entérite bien sûr ! Et vous avez raison c’est la pleine saison. Les premiers symptômes ne trompent. Dans un premier temps plutôt que de vous ruer chez votre médecin, fouillez dans votre boite à pharmacie et si vous déjà eu « la gastro » gober des anti vomitifs et anti diarrhéiques… Ce qui devrait clouer le bec de ce « charmant » virus. Du repos et un alimentation réduite à des féculents « vapeur » devrait calmer les ardeurs de cette déplaisante maladie.

Si les symptômes persistent et s’ils s’accompagnent de fièvres, de courbatures, de céphalés ça peut être une grippe, il est donc préférable au-delà de 24h -sans amélioration- de consulter votre médecin bien sûr ! En France métropolitaine, la semaine dernière, le réseau Sentinelles (composé de médecins généralistes qui font remonter leurs observations) l’incidence des cas de diarrhées aiguës vus en consultation de médecine générale a été estimée à 216 cas pour 100 000 habitants, en-dessous du
seuil épidémique (278 cas pour 100 000 habitants). Si l’on se réfère aux années précédentes, le seuil épidémique ne sera pas franchi avant début janvier.

CC

Gastro-entérologie

Pour la semaine 11 du 13 au 19 mars 2006, l’activité épidémique des gastro-entérites aiguës continue à décroître mais plus lentement qu’au cours des années précédentes d’après le Réseau Sentinelles (système de surveillance composé de médecins généralistes). D’après ce réseau, l’incidence nationale de la diarrhée aiguë a été de 241 cas pour 100 000 habitants proche du seuil épidémique (208 cas/100 000). Sept régions restaient en situation épidémique au 19 mars. Les trois régions avec l’incidence la plus élevée étaient la Haute-Normandie (405 cas/100 000), la Bretagne (394) et PACA (392). L’activité des services d’urgences hospitalières pour ce diagnostic (réseau OSCOUR) était également en phase de décroissance mais restait élevée.

Ces gastro-entérites hivernales sont surtout d’origine virale. Lire la suite

Gastro-entérologie, General

Si vous avez subi une endoscopie digestive entre mars et août 2005 à l’hôpital d’Alençon (Orne), vous devez sans tarder vous rendre dans un laboratoire pour qu’une prise de sang -aux frais du centre hospitalier- vérifie que vous ne souffrez pas d’une infection.

Des analyses ont été effectuées sur l’endoscope du service de gastro-entérologie et il apparaît qu’une petite pièce de trois grammes était insuffisamment désinfectée. Après cette découverte, les médecins de l’hôpital ont décidé de convoquer les 250 patients qui ont été exposés au risque d’infection. « Le risque d’infection pour les patients est très faible », a assuré Erick Beaujard, chef du service de gastro-entérologie de l’hôpital d’Alençon, qui préfère toutefois appliquer le principe de précaution ». Un risque infime mais pas nul… Quand on se rend à l’hôpital c’est pour se soigner et non pour attraper de nouvelles infections… C’est inadmissible !

Gastro-entérologie, Témoignages

Claude F. est un lecteur de parlonssante.com qui témoigne de son problème médical. Si vous connaissez une solution pour le soulager, si vous rencontrez les mêmes maux, si vous êtes spécialiste, vous pouvez peut-être l’aider, laisser un commentaire après ce témoignage. Attention, toute publicité pour des solutions « miracles » sera immédiatement supprimée de ce blog.
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Gastro-entérologie

Lutter contre la mauvaise haleine

Une personne sur cinq souffre d’halitose, autrement dit de mauvaise haleine chronique. Le centre de l’haleine retrouvée pour un mieux-être réel réunit des dentistes, des ORL, mais aussi des psychologues car 10% des cas ont une origine psychosomatique. Si cette pathologie se détecte par la bouche, sa source peut être d’ordre gastrique. Dans la surcharge pondérale les causes de mauvaise haleine sont variées mais il est sûr que la mauvaise digestion (qui commence avec une mauvaise mastication) est une cause importante, ainsi que l’hypoglycémie réactionnelle à de nombreuses privations qui est source d’odeur acide de l’haleine, de même que le catabolisme de certains médicaments ou parfois des traitements comme les cures hyperprotéinées (cétose et mauvaise haleine).
www.haleine-fraiche.com

Gastro-entérologie

Chaque année en France, 5000 nouvelles personnes sont contaminées par le virus de l’hépatite C. Si effectivement dans certains cas elle se traduit par une cirrhose du foie éventuellement compliqué de cancer, c’est loin d’être systématique. Afin de démystifier ce virus, les médecins vont à la rencontre du grand public pour présenter cette maladie et insister sur la nécessité du dépistage.
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