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Ménopause : une époque formidable ? « Une renaissance » pour #LindaHardy !

« Je ne sors jamais sans mon éventail ! ». Coquetterie d’une influenceuse ? Que nenni, une évidence pour Laure, 52 ans qui ne saurait quitter son domicile sans ce précieux outil de ventilation bio, écolo et mobile ! Eh oui, Laure subit de plein fouet le dérèglement hormonal lié à la ménopause. Une joyeuseté pour toutes celles qui franchissent la barrière du demi-siècle.

Une nouvelle ère ou « aire » commence entre sueurs nocturnes, fatigue, frissons, palpitations et coups de chaud… Une formidable période de la vie des femmes où les ovaires sont en télétravail (et la production d’hormones sexuelles en baisse, bye bye les estrogènes), où les kilos font des petits, où la peau s’assèche, où l’humeur oscille, où le sommeil devient concept et le capital séduction… en voie d’extinction.

Allez trêve d’humour, la cinquantaine c’est aussi et surtout le bon moment pour prendre soin de soi, de son corps, de ses envies, son confort. C’est le bon moment pour être enfin à l’écoute de soi et de se consacrer à ce qui nous fait plaisir réellement. Dans une interview accordé au journal Gala Linda Hardy, 49 ans, ex. mannequin, Miss France 1992 brise le tabou de la ménopause et évoque : « une renaissance ». Déjà en en mai 2021, la comédienne avait sorti un guide bien-être intitulé Heureuse et en forme, dans lequel elle révélait trucs et astuces pour que chacun puisse appréhender son âge sans aucun complexe. A écouter un très beau podcast de Métamorphose lors de la sortie « Heureuse et en forme au naturel ».

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Bien dans sa peau, COVID, Enquêtes, Pédiatrie, Santé mentale, Sophrologie

Covid : anxiété, irritabilité, hyperactivité, agressivité… L’enfant victime collatérale de la pandémie

Port du masque, confinement, isolement, distanciation sociale… Autant de contraintes sanitaires qui ont un impact néfaste sur nos enfants. De nombreuses études notamment réalisées au Québec* -depuis le début de la pandémie- montrent des problèmes significatifs de comportements, de développement et d’apprentissage dès le plus jeune âge.

  • Chez les enfants d’âge préscolaire, on relève une augmentation des problèmes de conduite de 64 %, des troubles de l’anxiété (45%), de l’humeur (80,0%) de l’irritabilité (66,2 %), et plus généralement des difficultés émotionnelles et de l’hyperactivité.
  • Chez les enfants d’âge scolaire, ces études relèvent une augmentation significative des symptômes de dépression, ainsi qu’une augmentation de l’ennui (73,8 %), de la solitude (64,5 %) et de la frustration (61,4 %).
  • Chez les enfants d’âge scolaire, augmentation de l’anxiété, de l’agressivité et de l’irritabilité chez plus de 52 % d’entre eux.

Au-delà des seuils cliniques établis, les études révèlent des difficultés émotionnelles chez les enfants de tout âge, entre 18,64% et 39,9%. Une augmentation également au-delà des seuils cliniques de l’hyperactivité/inattention (20,36 %) et des problèmes de conduite (35,10 %) chez les enfants de tout âge.

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