La recherche médicale, Psychologie

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La consommation de cannabis augmente les risques de devenir schizophrène, selon une étude de l’institut de psychiatrie de l’université de Zurich, publiée lundi. « Sur le plan de la prévention, le cannabis apparaît comme étant moins inoffensif que ce que l’on croyait », ont indiqué les chercheurs dans un communiqué de l’université. « Le rôle du cannabis en tant que facteur de risque pour les maladies psychiatriques doit être revu », soulignent encore les chercheurs. « Les personnes, qui sont déjà sujettes à des maladies psychiques, en raison d’un contexte familial, devraient renoncer au cannabis » selon les chercheurs, qui ont publié les résultats de leur étude sur le site internet de la revue médicale Schizophrenia Research. Les chercheurs ont constaté une forte hausse des cas de schizophrénie chez les hommes jeunes dans les années 90. Les cas constatés chez les 15-19 ans ont été multipliés par trois et ceux chez les 20-24 ans par deux. Et ce sont ces catégories d’âge qui consomment le plus de cannabis, relève l’étude.

8 réflexions au sujet de “”

  1. Coucou!
    De nombreux patients atteints de scléroses en plaques et autre
    affections neurologiques, en traitement de chimiothérapie ou de
    bithérapie ou encore souffrant du glaucome utilisent le chanvre médical.
    En effet, ces pathologies sont souvent citées quand les médias abordent la question. Le cannabis est parfois mentionné dans la littérature médicale et les sites spécialisés.
    Il est aussi un sujet de discussions angoissées sur les forums. Peut-on traiter les symptômes d’une maladie avec du cannabis ? Quels sont les effets indésirables et les conséquences à moyen terme ? Peut-on réduire les risques de ce traitement ?

    Un produit actif
    Pour ne pas donner de fol espoir, il faut préciser que le cannabis
    protège, stimule et soulage mais ne guérit rien, malheureusement. Il
    faut aussi savoir que la dose utile pour bien des indications
    thérapeutiques est inférieure à la dose utilisée par les usagers
    récréatifs. Par contre, d’autres applications nécessitent un taux
    important de substances actives. Comme la morphine ou la benzodiazépine, le chanvre peut provoquer des effets psychoactifs et physiques jugés indésirables par de nombreux patients. Il est donc important de pouvoir doser convenablement et d’avoir les bonnes pratiques dans les actes préparatoires. C’est un gros problème pour les utilisateurs de la plante car il est difficile de se procurer un produit titré. Voilà pourquoi de nombreux malades voudraient utiliser des produits plus médicalisés comme le Dronabinol ou le Sativex. Ces produits ne contiennent pas tous les composants de la plante, ils ne sont donc pas conseillés pour des posologies élevées car le THC pur favorise les crises d’angoisse et les perturbations psychologiques.

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  2. Morphine … Cannabis….
    Drogues ou médicaments?
    De nombreux patients atteints de scléroses en plaques et autres
    affections neurologiques, en traitement de chimiothérapie ou de
    bithérapie ou encore souffrant du glaucome, de spondyjarthrite ankylosante ou de fibromyalgie se posent de nombreuses questions sur le chanvre médical. En effet, ces pathologies sont souvent citées quand les médias abordent la question. Le cannabis est de plus en plus mentionné dans la littérature médicale et les sites spécialisés… Et le sujet de plus en plus abordé lors de cobférences et de colloques sur ces maladies.
    Il est aussi un sujet de discussions angoissées sur les forums. Peut-on traiter les symptômes d’une maladie avec du cannabis ? Quelles sont les effets indésirables et les conséquences à moyen terme ? Peut-on réduire les risques de ce traitement ?
    Un produit actif:
    Pour ne pas donner de fol espoir, il faut préciser que le cannabis
    protège, stimule et soulage mais ne guérit rien, malheureusement. Il
    faut aussi savoir que la dose utile pour bien des indications
    thérapeutiques est inférieure à la dose utilisée par les usagers
    récréatifs. Par contre, d’autres applications nécessitent un taux
    important de substances actives. Comme la morphine ou la benzodiazépine, le chanvre peut provoquer des effets psychoactifs et physiques jugés indésirables par de nombreux patients. Il est donc important de pouvoir doser convenablement et d’avoir les bonnes pratiques dans les actes préparatoires. C’est un gros problème pour les utilisateurs de la plante car il est difficile de se procurer un produit titré. Voilà pourquoi de nombreux malades voudraient utiliser des produits plus médicalisés comme le Dronabinol ou le Sativex. Ces produits ne contiennent pas tous les composants de la plante, ils ne sont donc pas conseillés pour des posologies élevées car le THC pur favorise les crises d’angoisse et les perturbations psychologiques.

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  3. Cannabis et Morphine?
    Drogues ou médicaments?
    De nombreux patients atteints de scléroses en plaques et autre
    affections neurologiques, en traitement de chimiothérapie ou de
    bithérapie ou encore souffrant du glaucome, fibromyalgie ou spondylarthrite ankylosante se posent la question du chanvre médical. En effet, ces pathologies sont souvent citées quand les médias abordent la question. Le cannabis est de plus en plus mentionné dans la littérature médicale , les sites spécialisés…. et le sujet quasi systématiquement abordé lors de colloques ou conférences.
    Il est aussi un sujet de discussions angoissées sur les forums. Peut-on traiter les symptômes d’une maladie avec du cannabis ? Quelles sont les effets indésirables et les conséquences à moyen terme ? Peut-on réduire les risques de ce traitement ?
    Un produit actif
    Pour ne pas donner de fol espoir, il faut préciser que le cannabis
    protège, stimule et soulage mais ne guérit rien, malheureusement. Il
    faut aussi savoir que la dose utile pour bien des indications
    thérapeutiques est inférieure à la dose utilisée par les usagers
    récréatifs. Par contre, d’autres applications nécessitent un taux
    important de substances actives. Comme la morphine ou la benzodiazépine, le chanvre peut provoquer des effets psychoactifs et physiques jugés indésirables par de nombreux patients. Il est donc important de pouvoir doser convenablement et d’avoir les bonnes pratiques dans les actes préparatoires. C’est un gros problème pour les utilisateurs de la plante car il est difficile de se procurer un produit titré. Voilà pourquoi de nombreux malades voudraient utiliser des produits plus médicalisés comme le Dronabinol ou le Sativex. Ces produits ne contiennent pas tous les composants de la plante, ils ne sont donc pas conseillés pour des posologies élevées car le THC pur favorise les crises d’angoisse et les perturbations psychologiques.

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  4. En tant que fumeur regulier de cannabis depuis plus de 15 ans, et atteignant maintenant le 35 ans, je me permet de donner mon avis sur la question.

    Concernant les maladies psychiques et ce que je pourrais appeler les bads trips, c’est vrai il ne faut pas se voiler la face. Le cannabis en fait accentue l’état dans lequel nous sommes : si on est heureux, on le sera plus, si on est triste idem, si on on a des tendeances schyzo on le developpera davantage. Et Effectivement le cannabis ne soigne rien…

    Alors pourquoi je fume me direz-vous sachant tout cela? Le cannabis est intervenu au début de ma vie d’adulte, et m’a apporté beaucoup de choses et m’en apporte encore beaucoup : Moins de stress, talents et idées artistisques développées (C est mon travail et d’ailleurs beaucoup d’artistes célèbrent s’évadaient par l’usage de drogue ou d’alcool), Il m’a ouvert,m’a guérit de ma timidité. Bref il m’a apport beacoup de choses. Il a même été un soutien après une longue periode de chomage (J’ai fumé un petard avant un entretien et j’ai été pris sur le coup).

    Cependant il y a la face cachée du cannbis dont personne ne parle. Les jeunes fument de plus en plus, ils sont donc amenés à se fournir en produit là ou ils peuvent. Ok le cannabis n’est pas cher, mais doit on admettre que nos jeunes fument des produits coupés à des substances chimique, du henné voire de la m.. de chameau, de la cocaïne etc… Si on ne fait rien, nos jeunes courent un gros risque. La legalisation pourrait remedier tout ça et mettre fin a cette mafia organisée qui détruit pleins de jeunes qui ne savent plus ce qu’est du vrai cannabis…

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  5. Coucou et de retour sur Parlons Santé … Après une trop longue absence … Nouvelles douleurs … Nouveaux traitements …. Effets secondaires …
    Et sur ces douleurs typiquement « neurologiques » ( Décharges électriques … Impression d’être sciée … Des jours et des nuits à hurler…)… Mon petit cylindre était sans effet!
    Tu as raison Canna Boyk de dire que le cannabis ne soigne rien . Il ne guérira ni ma sclérose ni un cancer. Mais il est bien efficace pour combattre toutes les douleurs autres que neurologiques.
    Par contre je veux en rester à l’utilisation thérapeutique … Essentiellement médicale et sous contrôle de mes toubibs ( Neuro et généraliste)… Récréatif … Il peut devenir un danger.
    Abus … Mauvaise qualité … Troubles du comportement ou du psychisme avant …
    Il permet , en cas de certaines maladies, de lutter contre la douleur … Les douleurs… De se détendre … De garde sa dignité … MAIS comme tout médoc … Il peut être très dangereux.
    Un texte que j’ai « pondu » et envoyé:
    « Vous permettez, Messieurs… que j’emprunte cet illégal cylindre magique qui fait un tube radieux dans ma vie si étriquée, si moche, si noire et si douloureuse. Embauchez des collaborateurs pour assister les marchands de sable afin qu’ils travaillent aussi au service des victimes de cruelles maladies, interdits de vraies bonnes nuits sans douleur.
    Ceux-ci ne saupoudreraient pas de sable d’or les mirettes de nos chères têtes blondes, mais c’est de l’herbe de Perlimpinpin qu’ils disperseraient aux malchanceux pour qui nuits et souffrance sont indissociables.
    Messieurs les décideurs…décidez-vous! Respectez nos souffrances et donnez votre aval à ceux qui se portent au secours des malchanceux et osent défier la loi actuelle : ils sèment, ils récoltent et remplissent en toute illégalité ces bienfaisants cylindres… Ils font acte d’assistance à personnes en souffrance.
    Avis aussi à tous les « Nicolas » et toutes les « Pimprenelles » le sort peut vous choisir, à tout moment pour être les hôtes de quelque fléau aussi incurable qu’affligeant… Hôtes et hôtesses forcés, cela va de soi ! … Alors ne condamnez pas les utilisateurs et ceux qui, solidaires, font germer et entretiennent ces plantes aux antalgiques arômes.
    Je veux et j’aimerais croire que vous saurez tenir compte de cette supplique.
    Il n’y a pas que les petits qui ont besoin d’un marchand de sable et de son acolyte nounours… Tout le monde a droit au sommeil… ceux qui souffrent aussi !
    Laisser un individu supporter l’insupportable n’est pas digne d’êtres humains. Bonnes et douces nuits à tous les Nicolas et Pimprenelles.
    Merci Messieurs de l’attention que vous porterez à cette bafouille.
    Que notre belle France est ringarde ! D’autres pays se sont penchés sur la question et ont décidé d’aider leurs patients en souffrance et autorisé la pratique du « joint », j’ose le dire, pour adoucir le quotidien de leurs victimes impuissantes. Quand il n’y a plus que cela pour que la vie reste vivable, quand on n’a que cette solution à offrir en partage aux êtres chers, proies de quelque monstrueux mal, alors on ne réfléchit plus… Ou plutôt, on réfléchit enfin sainement et… on fait ! … Qu’importe la loi, les flics, la taule, pourvu qu’on ait des moments de répit.
    Bien avant que je n’ose user de ce rouleau de papier fin, qui « fait un tabac » dans mes neurones, par peur d’impliquer amis et parents, bien avant donc, j’ai contacté une doctoresse pour d’abominables douleurs si habituelles en temps ordinaire et particulièrement violentes en cette fin de journée. Celle-ci m’a aussitôt fait une piqûre de morphine et m’a prescrit quelques comprimés pour compléter sa potion. Les douleurs se sont estompées jusqu’à disparaître totalement et j’ai pu enfin m’endormir comme un bébé… Plus tard, mon compagnon m’a raconté ce qu’encore j’ai peine à croire : « tu t’es assise sur le lit, et tu t’es mise à parler en disant : le caillou, il est là, c’est celui là qu’il faut prendre pour se laver ».Comme il me demandait de quel caillou il s’agissait et qu’est-ce que je voulais en faire, je me suis presque énervée en lui expliquant : « Tu sais bien ! Pour se laver ! Il y en a partout ! Tu en prends un, tu frottes avec sur le bras, et ça mousse ! Regardes sur l’étagère, il y a plein de cailloux pour se laver. » puis j’essayais de me lever pour lui montrer que j’avais raison, que les cailloux étaient bien là et ne pouvaient servir qu’à la toilette… « L’étagère est pleine de cailloux… ils servent à ça… etc. etc.… » Il parait que cela a duré longtemps, longtemps… J’ai peine à le croire, mais venant de Bruno je ne peux qu’accepter cette version des faits… Je ne me rappelle de rien du tout.
    Alors ? Quoi choiser ? Piqûre dans un cylindre ou cylindre de fumée ? Liquide légal ou fumée illégale ? J’ai opté pour le second.
    Toutes mes nuits redeviennent ce qu’elles auraient toujours dû être : sereines et paisibles, bien sûr avec quelques cauchemars, mais quasiment plus de douleurs…. »

    La page de son site sur le sujet:
    http://motspourmaux.perso.cegetel.net/autresmedecinesb.htm

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  6. bonsoir à tous, je viens chercher des avis sur le cannabis et les comportements toxicomanes en général, jai 27 ans et je travaille dans le milieu de la musique autant dire que la majorité des gens que je cotoie fume régulièrement, moi je me suis toujours interdit dy toucher trop souvent, juste parce que je me sens fragile de ce côté et que je suis quasi certaine que je deviendrai dépendante trés vite, je n’ai aucun mérite parce que étant dépressive et anorexique depuis l’enfance jai gouté trés tôt aux anxiolytiques, je trouve débile de donner une ordonnance à des jeunes (en gros ne fumez pas c’est pas bien, mais les medocs ça rapporte des sous aux labos alors allez y aucun danger…) et on se retrouve accroc à des petites pilules, j’ai beau avoir esayé de ne pas boire, de ne pas fumer, je suis dépendante et je narrive plus à vivre une vie normale sans une dose de médicaments. en écrivant ces mots, la honte m’envahit. je sors depuis quelques mois avec un garçon de 23ans qui passe ses journées à (jene peux pas dire fumer, je ne peux dire que « se défoncer » la tête à coup de pétards, il boit, ne se rappelle de rien, et son comprtement est incompréhensible par moment, il a tenté de cesser, il avait un traitement, il fumait en le prenant…jai essayé de rester présente mais je nai plus la force d’attendre qu’il diminue, ayant moi aussi des choses à régler que faire??? je ne l’ai jamais jugé, lui par contre me dit que je ne sais pas prendre les choses avec philosophie, « jarrêterai un jour, tu le sais » et moi je méne ma vie en le voyant de moins en moins car je veux avancer, guérir, me construire un avenir, être assez forte pour arriver à me passer de mes cachets, mon témoignage est juste làpour dire que le cannabis n’est pas dangereux mais il faut gérer sa conso comme pour tout, tant qe ça n’entrave pas la vie privée, professionnelle et sociale, il ne sert à rien de faire de la morale à deux francs en montrant du doigt les fumeurs et en les cataloguant de drogués, moi ça ne se voit pas mais jen suis une quelque part…pour conclure, pour moi, et dans mon histoire personnelle le cannabis s’est interposé comme une maîtresse entre mon ami et moi, dans ce monde qu’il se crée avec lui, je n’y ai pas ma place, alors quand il fume je pars, ai-je raison? merci de mavoir lu, ce post est sûrement inutile et hors sujet mais javais besoin de lécrire, camille.

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  7. Bonsoir Camille,
    Je suis d’accord avec toi, qui nous sommes pour juger les uns ou les autres ? Ton ami est majeur il fait ce qu’il veut avec sa vie et avec son corps. Toi aussi d’ailleurs. Tu es libre, libre de ne pas fumer dans un monde où la fumette est « bien vue », les 25-35 sont légions à le faire. Je connais cet environnement, je me suis trouvée à ta place, non fumeuse (de cannabis) dans un univers de fumeurs. Je restais aux clopes, par choix et par défi aussi, je refusais de faire comme tout le monde, une façon d’affirmer ma différence. Cétait mon choix, ma décision, ma vie. Tu ne vis pas la vie de ton petit copain, idem pour lui. A toi de voir si tu acceptes ce « ménage » à trois. A te lire, je perçois quand même une différence entre vos deux comportements, toi tu es consciente de ton accoutumance et tu as ostensiblement envie de t’en débarrasser, lui à l’air d’être en harmonie avec lui-même… C’est une différence fondamentale.
    et pour terminer, non ce post n’est pas inutile, écrire est une drogue douce… C’est la mienne !
    Si tu veux en parler plus, tu peux m’envoyer un email parlonssantecom(@ yahoo.fr

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  8. merci claire pour cette réponse, et pour ton soutien, moi ma drogue douce c’est la musique et le chant, depuis la semaine dernière, je n’ai pas pris d’anxiolytique, je prends un peu de millepertuis en teinture mère pour m’aider à être calme, pour l’instant, je m’y tiens. En ce qui concerne mon copain, ce n’est pas la même histoire, lui par contre fume de plus en plus, il a trouvé de la bonne beu qui le scotche complétement, je ne l’ai pratiquement pas vu de la semaine, il oublie de me rappeler, n’a plus la notion du temps qui passe, ce soir je suis seule chez moi parce que je suis passée le voir comme prévu, je l’ai retrouvé endormi devant son ordinateur, je l’ai aidé à se déshabiller et à se coucher et puis je suis rentrée, je ne sais plus quoi faire, il a consommé de la cocaine pendant un an et a touché à l’héroine (par voie nasale) l’année dernière, la relation n’existe plus, il est toujours dans la prise de risque, à moto, dans sa consommation de tabac, d’alcool, de cannabis, à côté de ça, il est adorable, hypersensible, artiste et intelligent, mais je me rends compte qu’il joue quand même au niveau affectif pour me retenir. quels sont les risques d’une consommation excessive et quotidienne de cannabis ? J’ai tout tenté, je suis toujours à l’écoute, patiente, compréhensive il me semble..il s’en veut et dit à chaque fois qu’il arrêtera un jour, qu’il sait qu’il ne fumera pas toute sa vie mais je n’y crois plus et je me sens seule, je ne pensais pas que ça puisse à ce point bouffer la vie, bien sûr, le problème est plus profond mais je suis la seule personne proche de lui au courant de ça et c’est lourd…désolée si ce post est personnel mais je cherche des avis et conseils parce que je me sens désemparée. Merci d’avoir été au bout de mes mots et de mes maux, camille.

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