- Apnées du sommeil, mauvaise hygiène de vie (abus d’exitants -tabac, alcool) dîners trop copieux, stress, dépression, manque ou excès d’activités physiques, prise de médicament excitants (cortisone, bêta bloquants…), environnement inadapté au repos (chambre bruyante, trop lumineuse, surchauffée, literie usagée…) du petit ennui passager aux difficultés chroniques,les causes de l’insomnie sont multiples. En France, plus de 70 % des français dont 10% des adultes se plaignent d’insomnie (difficultés d’endormissement, éveils nocturnes, réveil précoce le matin ). L’impact sur l’environnement, sur la vie personnelle et professionnelle de l’insomniaque sont notables. Le recours aux somnifères doit se faire dans le cadre d’un suivi médical et jamais au long court, il faut bannir l’automédication !
- Selon une étude publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, l’insomnie chronique est associée, non pas à une perte de sommeil, mais à une excitation excessive et continuelle du système nerveux central. Un tel dérèglement peut induire non seulement l’anxiété chronique et la dépression, mais aussi l’hypertension artérielle, l’obésité et même l’ostéoporose. Les chercheurs suggèrent donc que les médecins traitent leurs patients insomniaques de façon à diminuer leur niveau d’excitation physique et émotionnelle (à l’aide d’antidépresseurs, par exemple) plutôt que seulement en améliorant leur sommeil.
Si vous avez des problèmes d’insomnie racontez-nous vos astuces, vos trucs pour retrouver le sommeil.
- Au Québec, une autre étude publiée cette année par l’Epidemiology of insomnia : Prevalence, self-help treatments, consultations, and determinants of help-seeking behaviors, Sleep Medicine, révèle que 29,9 % de la population fait de l’insomnie, tandis que 9,5 % souffre d’insomnie chronique1, selon les résultats d’un sondage mené dans le cadre d’une étude de l’École de psychologie de l’Université Laval, au Québec.
- Pas moins de 13 % des Québécois francophones ont consulté au moins une fois un professionnel de la santé pour des problèmes d’insomnie. Ils le font en raison de la fatigue, de la détresse psychologique et des inconforts physiques qu’ils ressentent.
- Pour combattre l’insomnie, les médicaments représentent une option comparable aux produits de santé naturels. En effet, 14,8 % des Québécois prennent des produits vendus sans ordonnance ou des somnifères prescrits par un médecin. En comparaison, 15 % des Québécois se tournent vers les produits de santé naturels.
- Pour retrouver le sommeil, la grande majorité opte pour la lecture (32,5 %), l’écoute de la musique (25,2 %) ou la relaxation (20,7 %). Quant aux thérapies alternatives, elles semblent peu populaires. L’usage de somnifères sur prescription médicale est réalisé par 11% des insomniaques.
1. On considère qu’une personne souffre d’insomnie chronique lorsque, pendant au moins un mois, elle est insatisfaite de la qualité de son sommeil, éprouve de la difficulté à s’endormir et connaît des épisodes d’éveil à une fréquence de trois nuits par semaine ou plus.
Personnellement je connais les insomnies. Ce n’est pas régulier, mais ce sont des épisodes. Je baîlle, je me sens fatiguée je me couche et rien, les heures défilent etles yeux piquent, mais ne se ferment pas. Bouquin, respiration par le ventre, comptage de moutons…, j’ai essayé en vain. Depuis une semaine c’est difficile, cette nuit c’est une nuit blanche totale, couchée à 1h du matin levée à 4h30 sans un moment de sommeil. ll fait jour maintenant et le boulot est dans 1h30, trop tard pour se recoucher. Ce serait prendre un risque d’endormissement ! J’hésite encore à prendre des somnifères, je n’aime pas ce type de médicaments. Bon je suis stressée, un peu dépressive en ce moment et j’ai pris de la cortisone… c’est déjà pas mal de contre indication au sommeil. Je vais tenter des médecines douces, tisanes, infusions… à suivre
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on va faire cmt garba 50
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