Le virus H5N1 de la grippe aviaire aurait un talon d’Achille que pourraient prendre pour cible de nouveaux médicaments plus efficaces, selon une étude publiée mercredi sur Internet par la revue britannique Nature.
Même si l’oseltamivir (nom commercial Tamiflu) et le zanamivir (Relenza), déjà stockés par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et plusieurs gouvernements en prévision d’une hypothétique pandémie humaine, ont montré une certaine efficacité contre ce virus, il serait possible de faire mieux, estiment les chercheurs.
Certains virus H5N1 étant résistants aux médicaments actuels, les chercheurs espèrent avoir ainsi de «nouvelles occasions» de mettre au point des antiviraux efficaces.