« Notre santé n’est pas à vendre », cette formule clamée par les membres de la Ligue contre le cancer donne le ton de la campagne de communication lancée pour faire baisser les prix des anticancéreux. Ces médicaments de nouvelle génération performants mais très coûteux restent inaccessibles à un grand nombre de malades, une situation qui révolte la Ligue.
La Ligue cite comme exemple le prix du Keytruda®, prochain traitement contre le cancer de la peau qui coûtera en France, 100 000 euros par an par patient.
Une pétition a été lancée afin d’obtenir un vaste soutien populaire et peser dans les discussions et les prises de les prises de position lors du prochain G7, les 26 et 27 mai, à Tokyo.
En un mois plus de 60 000 signataires se sont mobilisés. Pour renforcer cette mobilisation et la rendre plus visible, la Ligue contre le cancer lance une campagne inédite via le réseau d’affichage Insert pour « briser les tabous et combattre l’opacité de la fixation du prix des médicaments ».